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Sophie Venetitay du syndicat enseignant SNES-FSU : "Il s’agit bien évidemment de ne pas juste montrer les caricatures de Mahomet, mais différentes caricatures, plein de caricatures, parce que c’est aussi une façon d’enseigner la laïcité"

Sophie Venetitay, du syndicat enseignant SNES-FSU : "Quand un enseignant signale un problème, quel qu’il soit, il faut le prendre au sérieux."

Sophie Venetitay du SNES-FSU, sur la rentrée après les vacances : "Le 2 novembre ne pas être simple. Il faut le préparer, que les choses soient faites de la même façon partout, et il est indispensable de laisser du temps aux enseignants pour se préparer"

Le Zoom de La Rédaction : dans les locaux du journal à l'origine de l’affaire des caricatures de Mahomet

Caricatures de Mahomet : "Je n'aime pas ces carricatures mais je les défends, je défends ceux qui les diffusent au nom de quelque chose de plus important, la liberté", dit Bruno Le Maire

.@MarleneSchiappa, après la décapitation d'un professeur d'histoire : "Il y a une pression aujourd'hui quand des enseignants veulent très simplement parler de Charlie Hebdo, de caricatures"

Riss : "En février 2015, j'étais contre republier les caricatures : je ne voulais pas que ce soit la raison d'être du journal. À l'arrivée du procès, [on les a publiées parce que] ces caricatures sont le mobile du crime." #CharlieHebdo #le79inter

Sophie Venetitay du SNES-FSU, sur l'éducation morale et civique : "Il y a une actualisation des connaissances à faire, or cette actualisation et cette formation manquent. Là-dessus, force est de constater que l’institution est carente."

Sophie Venetitay du SNES-FSU, sur les remises en causes de l'enseignement : "Quelles réponses me donnent mon chef d’établissement, mon recteur, quand j’ai une telle remise en cause ? Cette question, c’est quand même un angle mort important."

Sophie Vénétitay : "On ne sait pas si on va pouvoir recruter suffisamment d’enseignants"

Caricatures : l’angoisse du dessin publié - Le Billet de Charline

L'histoire des caricatures - Le Billet de François Morel

Fabrice Lhomme : "Les postures et les caricatures ne résistent pas à l'examen des faits concrets"

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